LAMOUROUX, Mathieu, Auguste (1823-1880)
[Cette fiche appartient au projet “Les réseaux des premiers acteurs de la Bibliothèque des Amis de l’Instruction sous le Second Empire” (voir ici)]
Arrivé de Riom avant juillet 1848, LAMOUROUX, après avoir été brièvement membre de la BAI-III part fonder la BAI-XVIII en s’appuyant sur son réseau des amis de l’instruction, de la Franc-Maçonnerie et de l’édition.
NOM : LAMOUROUX Prénoms : Mathieu ou Mathieu Auguste1. N° d’ordre dans le registre des inscriptions de la BAI-III : numéro 272 Rôle dans la BAI-III : LAMOUROUX aide le bibliothécaire PLOMB3 puis part fonder la BAI XVIII (fondée le 4/6/1862, autorisée le 6/8/1862 par décision ministérielle et le 25/8/1862 par arrêté préfectoral) . |
État-civil et famille :
Mathieu LAMOUROUX est né à Riom le 4/4/18234. Son père, âgé de 29 ans, est alors étudiant en droit. Son grand-père maternel Jean-Baptiste GIRAUDY, 60 ans, sabotier à Riom, est témoin. Ses parents se sont mariés à Riom le 21/6/18215. Son père Pierre, Marien, Michel est encore étudiant. Orphelin, il est né sur la commune de Saint-Georges de Monts à 30 kilomètres de Riom dans une famille de cultivateurs et cabaretiers6. Sa mère, Marie Pauline GIRAUDY, est née à Riom le 17/11/17927. Trois des témoins lors du mariage sont liés au tribunal de Riom qui est déjà la capitale judiciaire de l’Auvergne par sa cour d’appel : le concierge du palais de justice, un avoué et un conseiller de la cour royale.
Mathieu LAMOUROUX se retrouve enfant unique suite aux décès de ses deux sœurs : Catherine meurt à 2 ans 6 mois le 24 juin 18238 et Marie Pauline à 18 mois le 18/4/18349.
Son père, une fois finies ses études, est commis greffier pour la cour royale. Le dernier de ses grands-parents, Jean GIRAUDY, meurt veuf d’Antoinette TAILLANDIER à Riom le 6 janvier 184710.
Mathieu LAMOUROUX quitte Riom pour Paris et se marie à la mairie de la commune de La Chapelle le 7/7/185011. Il épouse Marianne Joséphine LEFEBVRE, née le 12/11/1830 à Villers-Campsart (Somme), un an après le mariage de ses parents, un charron et une fileuse de laine12. Le père, Antoine Félix, est domestique lors de son décès en 1844, à 44 ans13. Ce décès serait la « suite des infirmités qu’il a contractés au service de son pays comme ancien militaire »14. ». La mère, Marie Marguerite, née MARTIN, devient ménagère. En 1850 elle habite à La Chapelle, commune de la Seine, 33 rue de la Charbonnière avec sa fille et son fils. Elle meurt le 15/10/1878 à l’asile de Ville-Evrard sur la commune de Neuilly-sur-Marne15.
Mathieu LAMOUROUX et Joséphine LEFEBVRE se marient religieusement à Saint-Pierre de Montmartre le 9 octobre 185516. Ils ont 4 enfants. Le premier et le dernier meurent en nourrice avant 3 mois :
- Pierre Eugène meurt à 41 jours chez sa grand-mère LEFEBVRE à Villers-Campsart le 16 mars 185017.
- Marie, Louise, Noémie, Angéline meurt à 2 mois à Fontenouilles dans l’Yonne le 15/8/185918.
Deux filles parviennent à l’âge adulte :
- Pauline, Joséphine, Emma, Marie naît le 29/3/185219. Elle épouse le 19/10/1872 Alexis, Arthur, DAVID (23/7/1843 Paris-27/4/1898, Paris 7e) graveur en taille douce ou graveur héraldique. le mariage a lieu dans le 1er arrondissement, en présence de ses parents. Parmi les témoins se trouvent Charles, Désiré DESJARDINS-LIEUX, graveur, et Gaston, Eugène PINOT de SAINT-PIERRE, employé de la Caisse des Dépôts, lecteur 142 de la BAI-III20. Veuve, elle se remarie en 1904 avec Jacques, Henri, Georges CHARTIER peintre d’histoire et de sujets militaires21. Lors de son décès en 1919 elle est notée graveur22 et elle figure dans l’annuaire au 5 rue de Castiglione au moins jusqu’en 1909 avec la profession de graveur.
- Mathilde, Marie, Louise, Nathalie naît le 26 juillet 185423. Elle se marie après le décès de ses parents avec Joseph Paschal DERREY, courtier en marchandise. Elle est notée teinturière, profession qu’elle a dû prendre au décès de ses parents, et demeure 184 rue du faubourg St. Honoré24. Ils auront 4 garçons et elle cherchera à obtenir un bureau de tabac au décès de son mari en 1900.
Joséphine LEFEBVRE meurt avant LAMOUROUX, à 48 ans, le 17/7/187925. LAMOUROUX meurt à 57 ans le 3 février 1880, 200 rue du faubourg Saint-Denis, à la maison de santé Dubois, Paris 1026. Ils sont d’abord enterrés au cimetière de Vaugirard puis transférés à Montparnasse dans une concession familiale27.
Professions :
- À Riom :
LAMOUROUX se dégage des obligations militaires et prend un remplaçant le 15/6/1844. En sortant du collège il prend un premier emploi à Riom. De septembre 1844 à novembre 1845 il est aspirant surnuméraire dans la perception à la recette particulière de la ville.
- À Paris :
- En juillet 1848 il entre comme commis auxiliaire au bureau de la dette inscrite au Ministère des Finances à Paris. Il y reste 18 mois.
- En février 1850 il dépose une demande d’emploi à la Caisse des Dépôts et Consignations. Il dispose d’une lettre de recommandation d’Eugène ROUHER, député du Puy de Dôme et ministre de l’Économie28. Il est admis le 4 avril 1850 et y reste jusqu’à son décès.
- Parallèlement il se lance dans l’imprimerie29. En 1863, il prend la direction de l’imprimerie de la veuve GOUPIL au 76, 78 passage du Caire, grande galerie. Au décès de celle-ci, il rachète avec son épouse l’établissement d’imprimeur lithographe. C’est son épouse qui reprend le brevet30 de la veuve GOUPIL31. Avant 1865, elle est sans profession, sauf en 1850 au décès de son fils elle est notée couturière.
Lors du règlement de la succession ils laissent chacun 6000 francs à leurs deux filles héritières.
Adresses connues :
Personnelles :
- En 1850, 14 rue de l’Empereur dans la commune de Montmartre, actuellement rue Lepic du 18e arrdt.
- En 1861, et encore en 1865, 10 rue Amélie qui devient le 10 rue Puget 18e, quartier des grandes carrières.
- En 1872 et jusqu’à son décès en 1880, 10 rue du cloître Saint Jacques 1er, disparue lors du percement de la rue Lescot entre la rue de la Grande Truanderie et la rue Rambuteau.
Professionnelles :
- En 1862, LAMOUROUX dirige une imprimerie 76 et 78 passage du Caire 2e.
- En 1865, Madame est domiciliée pour « sa maison de détail, fonds de commerce d’étiquettes et autres marchandises de ce genre » et pour l’atelier de lithographie aux 76 et 78 (anciennement 44 et 45) passage du Caire 2e 32.
- En 1869 et 71, l’activité professionnelle sous le nom de LAMOUROUX-LEFEBVRE est transportée 77 rue de Cléry 2e et 40 rue Beauregard. C’est le même immeuble traversant d’une rue à l’autre et faisant partie d’un lotissement d’habitations et de commerces datant du 17e siècle.
- A la fin du bail, l’activité professionnelle sous le nom LAMOUROUX-LEFEBVRE est transférée au domicile, 10 rue du cloître Saint Jacques 1er33.
Liens avec l’Association philotechnique et/ou polytechnique34 : LAMOUROUX ne semble pas suivre de cours du soir.
Appartenance à un courant d’idées, un mouvement politique :
- LAMOUROUX est franc maçon à 34 ans35.
D’abord apprenti à la loge des acacias de la commune de Montmartre en juillet 1857, il devient compagnon puis maître en décembre 1858. Le 22 mars 1862 à la fondation de la loge de la « France Maçonnique », il est premier surveillant. Il est vénérable en 1864 et encore en 1871. La loge se tient chez lui 10 rue Amélie 18e puis 77 rue de Cléry 2e. Il y retrouve quatre administrateurs de la BAI-XVIII :
- Alfred DUCROT (1831- 1866), apprêteur d’étoffes ; il est trésorier de la Loge et demeure 63 rue de Cléry 2e
- Jean DURRIEU (1808-1869, commissionnaire en marchandises (notamment de meubles) ; il est garde du sceau et timbre de la Loge. Il a été initié au Pérou dans la Loge la Concorde Universelle et demeure 62 Bd de Strasbourg, 10e arrdt.
- Édouard LEPRINCE (1833-1902, négociant, 61 rue du faubourg St. Martin, 10e.
- Moses STEINMETZ (1815-1891,) commissionnaire en marchandises (café en gros notamment). Il est surveillant de la Loge et habite 70 Bd de Strasbourg, 10e.
Pendant la Commune « pour se soustraire aux injonctions arbitraires du comité central », Lamouroux quitte Paris le 28 avril. Il l’écrit de Riom le 8 mai dans une lettre au directeur général de la Caisse des Dépôts36. Dans les statuts de la BAI-XVIII de 1864, il est précisé que le comité de 5 membres chargés du choix des livres est souverain et que le catalogue est communiqué annuellement au préfet de police. Le maire de l’arrondissement est président honoraire. Les règles imposées par les autorités sont donc acceptées.
Appartenance à une société de bienfaisance, une association : non repérée
Adhésion à la Société Franklin : non identifiée
Relations repérées avec d’autres membres de la BAI-III : Six membres de la BAI-III partent fonder la BAI-XVIII.
- LAMOUROUX, qui lance un premier appel dans Le Siècle du 13/9/1862 pour inviter les personnes le souhaitant à adhérer ou à aider à la BAI-XVIII, deux mois avant l’assemblée générale conflictuelle de la BAI-III37. Des permanences sont assurées tous les soirs dans la salle prêtée par la mairie dans l’ancienne mairie de la Chapelle, 61 Grande Rue de la Chapelle38
- Jean Baptiste GIRARD [voir fiche GIRARD].
- Marie PAUL [voir fiche PAUL]. Il demeure 29 rue des Poissonniers 18e
- Lippmann LEVY (1831-1919), lecteur 311, dessinateur employé au chemin de fer du Nord ; il demeure au 51 rue Constantine à La Chapelle (actuelle rue Myrha du 18e).
- Adolphe Albert DUBOIS (1823-1911), lecteur 457, employé au chemin de fer de l’Est ; il demeure au 8 rue Marcadet,18
- Joseph Théodore MAILLARD (1827-1900), lecteur 502, dessinateur ; il demeure 6 rue Marcadet, 18e.
Dans le passage du Caire, au 64 (ancienne numérotation) se trouvait de 1848 à 1854 l’association fraternelle des ouvriers lithographes avec Amand PETTRÉ, lecteur 266 de la BAI-III, Jean Louis RIMET [fiche RIMET ], Jean Baptiste GIRARD39. Sur les 580 lecteurs de la BAI-III figurant sur « la liste », 73 (1/8) ont un métier du livre : lithographe, relieur, imprimeur en taille douce, imprimeur, graveur, écrivain-lithographe, dessinateur, compositeur, coloriste. Sans compter Édouard LABOULAYE qui commence sa vie professionnelle comme « fondeur de caractères » avec son frère Charles, qui reste dans cette activité ; LENEVEUX (inscrit temporairement à la BAI-III puis membre actif de la BAI-XIV) typographe puis prote. Deux éditeurs sont au conseil de patronage Georges HACHETTE (1838-1892) et Emmanuel MAGDELEINE (1804-1889).
Relations repérées avec d’autres fondateurs de bibliothèques populaires : non
Écrits de la personne : pas d’écrits repérés à ce jour
Éléments biographiques complémentaires : Quand Lamouroux rachète avec son épouse l’établissement d’imprimeur lithographe le prix est de 11 000 francs. Le montage financier inclut l’hypothèque d’un bien, maison et dépendances, situées à Saint-Ouen sur les fortifications. La prisée de l’établissement commercial40 est réalisée en présence de deux experts tous deux imprimeurs passage du Caire : Jean-Baptiste, André AUGROS (1820 L’Ilse-sur-Serein, Yonne -1885 Paris) et Célestin, Casimir BUTOT . Il n’y a pas de bail écrit et le loyer est de 2816 francs par an payable en 8 fois au propriétaire SERINGE, lui-même imprimeur.
Passage du Caire, Plans cadastraux de Paris 1809-1854 (CP/F/31/12), Archives nationales
Chaque maison comprend une cave, une boutique avec devanture en pans de bois, un étage puis un étage mansardé qui donne au-dessus du passage. L’impôt mobilier et la patente représentent 80 francs/an. Deux livres de commerce sont tenus : l’un de recettes/dépenses et l’autre consigne les informations sur les clients et les commandes pour l’établissement des facturations. L’actif est de 1465,4O francs dans le fond de caisse auxquels il faut ajouter 359 francs restant à recouvrir chez divers clients. Le passif est de 750,45 francs de créances irrécupérables auxquels il faut ajouter 571,10 francs dus aux ouvriers de la maison. Figurent dans l’inventaire deux bons de la « caisse des travaux » l’un pour 4000 francs, l’autre pour 2000 francs payables courant 1866. Ces sommes prêtées produisent un intérêt de 5%.
Matériel :
- Une presse dite : presse Massiquot, estimée à deux cent cinquante francs . 250
- Quatre presses lithographiques, estimées à quatre cents francs …. 400
- Une presse à satiner avec ses accessoires, estimée à cent cinquante francs…150
- Un grenoir41 estimé à trente-cinq francs……………………… 35
5. Soixante-deux pierres lithographiques de divers formats, estimées ensemble à cent vingt-deux francs …………………122
- Quarante-huit pierres in-quarto, estimées à cent cinquante francs ….. 150
- Vingt-trois autres pierres format in-folio, estimées à cent soixante francs …………160
- Une pierre format écu, estimée à dix francs ………………………………………………………10
- Deux pierres format coquille, estimées à ……………………………………………………………25
- Un lot de casiers et tablettes, estimés à vingt francs ……………………………………20
- Un petit comptoir en chêne, une lampe, un bidon, une chaise cannelée vernis en noyer, une banquette, un escabeau, deux échelles, le tout estimé à cinquante francs ……….. 50
- Un poêle et divers appareils à gaz dans la boutique, estimés ensemble à quarante-cinq francs ….. 45
Total : quatorze cent dix-sept francs ……………. 1 417
Marchandises
- Cent jeux d’alphabets et chiffres en métal, estimés à cent francs……. 100
- Plusieurs boîtes et paquets d’étiquettes, estimés ensemble à deux cent cinquante francs …. 250
- Onze rames de papier estimées à 126 francs cinquante centimes ……………………. 126,50
- Deux rames de carton pour cartes de visite, estimées à cent vingt-quatre francs ….124
- Diverses plaques de portes, estimées à quinze francs ……… 15
- Divers objets d’étalage dans leur montre, ne méritant description, estimés à vingt-cinq francs ……. 25
- Total : six cent quarante francs cinquante centimes ……. 640
Après l’expertise, la valeur de l’affaire retenue par les experts est de 6000 francs en plus du matériel. Le fond de commerce est dévalué par le fait que la location des lieux est précaire et dépend du bon vouloir du propriétaire. De plus un établissement d’imprimeur passage du Caire ne comporte pas de clientèle propre, vu le grand nombre d’établissement du même genre dans le voisinage. Une fois le fonds de commerce acheté, il faut obtenir un brevet.
C’est Madame qui fait la demande pour reprendre le brevet d’imprimeur-lithographe42 de la veuve GOUPIL43. La demande est entièrement de l’écriture du mari. Elle est accompagnée d’un certificat de moralité du commissaire de police et d’un certificat de capacité à diriger une imprimerie lithographique de la chambre des imprimeurs signés par Pierre THIERRY (1794 Mulhouse -1870), président , membre du conseil de patronage de la BAI-III et donateur de livres sous l’intitulé THIERRY frères [fiche à venir] , Louis FEINDEL dit REIBEL(1815 Strasbourg-1892, fondation GALIGNANI) , secrétaire, domicilié 14 rue Val Sainte Catherine( actuelle rue de Turenne) et Marie, Pierre, Louis BADOUREAU (1795-1874) . Le commissaire inspecteur de l’imprimerie et de la librairie Victor, François GAILLARD instruit l’affaire à la direction générale de la sûreté publique au ministère de l’Intérieur. Il conclut que « Madame LEFEBVRE sait diriger un atelier et vendre ses produits principalement des étiquettes dont le débit est si considérable à Paris ». Il s’appuie sur un rapport émanant du cabinet du préfet de police qui note que « l’établissement est de peu d’importance ». Et pourtant Madame LEFEBVRE ne connaît pas du tout l’orthographe. Elle écrit : « je reçu le beuver de litograffe qui ma ette acordée ».

On trouve à la BnF un document parfaitement imprimé, sans faute d’orthographe, imprimé par « LAMOUROUX-LEFEBVRE, 76-78 passage du Caire, Paris » en 186944.
Pierre Eugène BOUTMY45de la BAI-VI et Joseph DECEMBRE-ALONNIER46 de la BAI-XV ironisent sur les travaux de ville ( papiers à en-tête, faire part, cartes-de visite, étiquettes, impressions administratives et judiciaires). Ils les appellent des “bibelots” et qualifient les exécutants de “bibelotiers”.
Fiche publiée le 12 avril 2025.
Auteur : Louise Oudin [avec l’aide des notes communiquées par Geneviève Deblock].
- CR BAI-XVIII, 1864. [↩]
- Registre dit des lecteurs – BAI-III. [↩]
- Rapport GRANDEAU dans l’Ami des sciences, 1862. [↩]
- AD63, Riom, 1822-1824, naissances, page 105/234. [↩]
- AD63 ,Riom, 1819-1822, mariages, page 98/248, acte 43. [↩]
- AD63, Saint-Georges-de-Monts, an XIII-1815, page 44/76. [↩]
- AD63,Riom, registre paroissiaux, Saint-Amable, B.M.,1792, page 47/65. [↩]
- AD 63,Riom, 1821-1824, décès, page 168 /277. [↩]
- AD 63, Riom, 1833-1836, décès, page 111/269, acte 241. [↩]
- AD63,Riom, 1845-1848, décès, page 112/256, acte 7. [↩]
- AD75, acte de l’état civil reconstitué, mariages, 7/7/1850, LAMOUROUX, page 3/51. [↩]
- AD80, Villers-Campsart, NMD,1816-1836, page 216/301. [↩]
- AD80, Villers-Campsart, N.M.D., 1837-1846, page 175/225, acte 2. [↩]
- Information donnée à l’appui de la demande de brevet d’imprimeur par sa fille, voir plus bas. [↩]
- AD93, Neuilly-sur-Marne, NMD, 1876-1878, page 304/332, acte 239. [↩]
- Collection Mayet, registres de catholicité des paroisses parisiennes. [↩]
- AD80, Villers-Campsart, NMD, 1847-1856, page 102/275, acte 1. [↩]
- AD89,Fontenouilles, NMD, 1855-1878, page 29/149, acte 11. [↩]
- AD75, acte de l’état civil reconstitué, 29/3/1852, pages 18-22/51. [↩]
- Registre dit des lecteurs – BAI-III. [↩]
- AD75, mariage,1e, 1904, page 4 / 31, acte 531. [↩]
- AD75, décès, 1e, 1919 , page 15/26, acte 350. [↩]
- AD75, acte de l’état civil reconstitué, 28/7/1854, pages 45-48/51. [↩]
- AD75, mariage, 8e,1884, page 15/31, acte 141. [↩]
- AD75, décès, 1er arrdt. 1879, page 29/31, acte 684. [↩]
- AD75, décès, 10, 1880, page 16/31, acte 605. [↩]
- AD75, cimetière Montparnasse, page 9/31, n° d’ordre 2981. [↩]
- Dossier individuel N°298 de LAMOUROUX Mathieu aimablement communiqué par le département des archives de la Caisse des Dépôts. [↩]
- Dictionnaire des imprimeurs lithographes du XIXe siècle, édition en ligne de l’école des Chartes. [↩]
- AN, F/18/1790. [↩]
- AN, F/18/1745. [↩]
- Plan parcellaire de Paris, fin 19e , 2e arrdt, quartier Bonne Nouvelle, PP/11914/C et cadastre de Paris par Ilot (1910-1836) 19e quartier, ilot n°2. [↩]
- Annuaire-almanach du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de l’administration Firmin Didot et Bottin réunis. 1873. [↩]
- Établis d’après les Palmarès, Recueil Association Philotechnique conservé par le département Philosophie, histoire, sciences de l’homme de la BnF. Le Bulletin de la Société pour l’instruction élémentaire est numérisé de 1843 à 1952, il reprend une partie du palmarès des deux associations. [↩]
- BnF, Départements des manuscrits, fond maçonnique FM 2 618. [↩]
- Dossier individuel N°298 de LAMOUROUX Mathieu aimablement communiqué par le département des archives de la Caisse des Dépôts. [↩]
- Voir Ian Frazer, « Jean-Baptiste Girard (1821-1900 ) : fondateur des Bibliothèques des Amis de l’Intruction (1861) », in Lectures et lecteurs au XIX e siècle: La Bibliothèque des Amis de l’Instruction – Actes du colloque de 1984, 1985. [↩]
- Le Siècle du 29/9/1862. [↩]
- Les associations professionnelles ouvrières, office du travail, Isidore Finance , 1894-1904. [↩]
- Inventaire après décès de Madame Veuve Goupil, notaire DUMAS, 3/5/1865, AN, MC/ET/XXXII/593. [↩]
- Un grenoir ou bourriquet est un dispositif qui permet d’effacer des reports anciens ou de modifier la surface d’une pierre, information trouvée grâce à Madame Élisabeth Parinet, professeur émérite de l’École nationale des chartes. [↩]
- AN, F/18/1790. [↩]
- AN, F/18/1745. [↩]
- Demande au Ministre des affaires étrangères du maintien de l’indemnité allouée en 1865 par la Commission mixte de Mexico pour pertes subies par le navire “Mazatleca“- Signé : Louis Vial, 12 octobre 1868. [↩]
- Dictionnaire de la langue verte typographique ; précédé d’Une monographie des typographes par Eugène Boutmy . [↩]
- Typographes et gens de lettres / Décembre Alonnier. [↩]